[Lecture] I knew you were trouble : Parfait !

Autrice : Alicia Garnier
Editeur : Hugo Roman
Nombre de pages : 492

Histoire : Quand un cœur brisé se remet à battre, est-ce toujours bon signe ? Après avoir refusé une demande en mariage, Joy se retrouve à participer à l’organisation de celui de son frère et de sa meilleure amie. 

Après tout, cette pause dans sa vie trépidante de danseuse à New York pourrait être une bénédiction. Mais elle ne s’était pas préparée à recroiser celui qui a hanté ses rêves durant des mois et n’a eu de cesse de la rejeter…

Travis, lui s’est coupé du reste du monde depuis longtemps. Ce n’est pas pour rien s’il préfère se réfugier dans son bar et arborer un masque de glace plutôt que d’affronter son passé. Pourtant, le retour de Joy le déstabilise car il sait que la laisser s’approcher, serait trop risqué. Cette éternelle optimiste tenterait à coup sûr de recoller les morceaux de son cœur. Et ça, c’est impensable…

Malgré tout ce qui les oppose, la tension entre eux est toujours aussi intense… Mais ressortiront-ils indemnes de cette histoire ?

Mon Avis : Après avoir dévoré la duologie Can’t Help Falling in Love, je brûlais de savoir ce qui s’était réellement passé entre Joy et Travis. Et ce spin-off est la réponse parfaite à mes attentes. I Knew You Were Trouble nous plonge dans une histoire aussi émotive que bouleversante, centrée sur deux personnages qui tentent de trouver un équilibre entre leurs blessures et leurs désirs.

Joy et Travis, c’est l’histoire de deux âmes cabossées, attirées l’une vers l’autre malgré leurs peurs et leur passé compliqué. Joy, pleine de vie et spontanée, fait ressortir le meilleur de Travis, un homme tourmenté par son histoire. Leur dynamique est captivante : ils posent des barrières pour se protéger, mais finissent par se guérir mutuellement, à travers une relation fragile et authentique.

L’un des thèmes majeurs de ce roman est le deuil, un sujet qui m’a particulièrement touchée. Le portrait de Joy, confrontée à la perte d’un être cher, m’a profondément émue. Je me suis retrouvée dans ses peurs et ses angoisses face à l’absence et à l’incertitude. Ces émotions sont dépeintes avec une telle justesse que j’ai été bouleversée à plusieurs reprises.

Ce roman a véritablement mis mes nerfs à rude épreuve. J’ai ri, j’ai pleuré, j’ai été frustrée et émue en même temps. L’autrice Alicia Garnier a réussi à créer des moments de tension qui m’ont laissée sans voix, notamment avec une révélation choc à laquelle je ne m’attendais absolument pas. Cette scène, en particulier, a réveillé des émotions que je n’avais pas anticipées, me plongeant dans un tourbillon de souvenirs douloureux, tout comme Travis dans sa quête de rédemption.

Les personnages sont incroyablement attachants. Joy est une héroïne déterminée, franche, et tellement humaine. Travis, quant à lui, incarne à la perfection l’archétype du bad boy blessé, mais on perçoit également sa vulnérabilité à travers ses interactions avec Yvla, sa chienne. Leur lien apporte une touche d’émotion supplémentaire, révélant une partie plus douce de Travis qu’il essaie de dissimuler sous ses airs d’homme dur.

En plus de Joy et Travis, on retrouve des personnages de la duologie initiale, comme Riley et Logan, et leur présence ajoute une belle continuité à l’univers créé par l’autrice. Ces retrouvailles renforcent la chaleur et la bienveillance qui se dégagent de ce cercle d’amis, apportant un équilibre entre les moments de douleur et ceux d’espoir.

Ce roman nous montre que, malgré les pertes et les cicatrices, la vie continue et qu’il est possible de trouver le bonheur à nouveau. L’histoire de Joy et Travis est une ode à la résilience et à la seconde chance, illustrant parfaitement que se reconstruire est un long chemin, mais que cela en vaut la peine.

En conclusion, I Knew You Were Trouble est une romance poignante, remplie d’émotions, avec des personnages profonds et sincères. Alicia Garnier nous livre une histoire intense, touchante, et surtout marquée par la capacité à aimer de nouveau après la souffrance. C’est un véritable coup de cœur pour les amateurs de slow burn, de tropes comme brother’s best friend et enemies to lovers. Vous serez séduits, tout comme moi.

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