Auteur : Catherine Kalengula
Editeur : PKJ.
Nombre de pages : 192
Histoire : Plongez dans le passé mouvementé de l’un des héros de Mystery Spell. Berlin, 1963. Julia est une étudiante assidue qui rêve de liberté. Drogo est un Rebel insaisissable, un bad boy au grand cœur. Rien ne les destinait à se fréquenter, et pourtant…
Derrière le rideau de fer, dans un climat d’oppression et de défiance, leur rencontre va bouleverser leur vie. Ils vont s’apprivoiser, se défier, se désirer passionnément dans une ville bridée par les interdits. Comment se construire un avenir commun quand on a grandi du mauvais côté du mur ? L’amour vaut bien tous les sacrifices, parfois les plus douloureux.
Mon Avis : ★★★☆☆. J’étais curieuse de découvrir ce roman, j’avoue que la couverture m’a tapé dans l’œil malgré le fait que je n’ai jamais joué au jeu, ni même lu un précédent roman. Pas de soucis, si vous ne connaissez pas, cela ne pose aucun problème même si j’ai trouvé que l’histoire manquait de quelque chose, on avait un peu l’impression que l’histoire était posée là n’importe comment où des choses manquaient pour imbriquer parfaitement l’histoire. Du coup, cette histoire de vampires parait un peu bizarre dans un monde où rien ne semble magique ou dans un monde qui le serait. On est effectivement en 1963 à Berlin quand il y a encore le mur et Julia ne rêve que d’une chose : partir. D’ailleurs, avec son meilleur ami, ils ont monté un plan pour réussir à le faire. Cette dernière est très solitaire et elle a un tempérament bien trempé pour ne pas se faire marcher sur les pieds. Elle fait la connaissance du beau Drogo et sa vie bascule, encore plus quand la mère de ce dernier lui demande qu’il parte avec elle alors que lui ne pense qu’à s’accuper de sa mère. J’ai beaucoup aimé Julia et je trouve cela triste que toute sa famille ne lui apporte aucune attention mise à part son père et j’aurais aimé savoir pourquoi exactement. Le roman est court et malheureusement nous n’avons pas toutes les réponses à nos questions. Je ne parle même pas de la fin qui est frustrante…
En résumé, Is it Love? Drogo est plutôt addictif, j’ai adoré aussi bien Julia que Drogo et leur histoire est mignonne. Malheureusement, je l’ai trouvé trop court mais en plus la fin m’a vraiment déçue, certes ça ne finit pas comme on l’aurait aimé mais en plus le mystère est entier … Je ne sais pas si c’est un one shot mais si c’est le cas c’est très frustrant ! Ca m’a donné envie quand même de tester les romans sortis chez Hugo Romans tiré du même jeu.
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