[PS4] FFXIV : Stormblood, la rentrée de l’été (partie 2/4)

Cette série d’articles est consacrée à Stormblood, la deuxième extension du MMORPG Final Fantasy XIV. Cette deuxième partie est dédiée aux premiers pas dans les nouvelles contrées de cette nouvelle extension.

Les ailes coupées

Dès les premiers instants dans Stormblood, on aurait envie de râler de ne pas pouvoir voler à nouveau et de devoir se remettre à la chasse aux vents. Pourtant, les paysages sont tellement agréables et le découpage des cartes si bien pensé qu’on en oublie l’envie de décoller. On sent que l’équipe de Square Enix a pris en compte les remarques faites sur l’extension précédente. Dans Heavensward, on avait le sentiment que les cartes avaient été pensées pour les montures volantes. Dans Stormblood, on en éprouve pas vraiment le besoin.

La cité pas interdite

Alors que l’extension sortie en 2015 proposait des environnements assez froids, vides et plutôt déprimants (histoire oblige), ce nouvel add-on revient vers une variété plus importante et des environnements plus classiques. À chaque pas on sent la touche Final Fantasy et l’on a un agréable sentiment de déjà-vu.

Après quelques aller-retour dans des environnements réussis mais relativement classique, notre voyage se poursuit en Orient. La cité de Kugane, d’inspiration japonaise, offre un design des plus réussis pour un dépaysement garanti ! Si cette ville propose un exploration plus courte que les 4 cités précédentes, son ambiance unique suffit à faire jeu égal avec les autres.

J’peux pas, j’ai piscine

Alors que notre monture n’a toujours pas eu l’occasion de reprendre son envole, notre personnage se découvre (enfin ?) la capacité de pouvoir nager. D’abord sur l’eau, nous découvrons ensuite la capacité de plonger de façon illimité avec ou sans monture. Une nouvelle dimension d’exploration s’ouvre alors !

Alors que les cartes s’amusaient déjà à vous perdre avec les hauteurs, il faut désormais compter avec la notion de profondeur. On tourne parfois en rond à la recherche d’un objectif de mission ou d’un personnage bien caché trop profondément ou bien en hauteur.

Number of the Beast

Autre point fort de cet add-on, le bestiaire. Là encore, les griefs du précédent opus ont été entendus. Moins de recyclage, plus de nouveaux monstres. Sans trop vouloir vous révéler la liste, même si la part belle est faite aux créations originales, on retrouve de nombreux animaux ou insectoïdes ici directement de la “vrai vie”. Un régal.

Rendez-vous début août pour la troisième partie !

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