[Série TV] Homeland, saison 6 : insécurité intérieure

Cette saison, Homeland a fait le choix de rester à la maison. Pas de voyage périlleux au Moyen-Orient ou en Europe pour Carrie Mathison. Rangée et bien déterminée à s’occuper de sa fille, la voilà cantonnée à un job de bureau. C’était son compter sur sa capacité à attirer les ennuis !

Synopsis : Carrie est retournée aux États-Unis, où elle travaille désormais dans un cabinet d’avocats spécialisé dans les cas abusifs contre les citoyens américains musulmans. Elle s’occupe également de Quinn, encore en rééducation. Elizabeth Keane se prépare à prendre le poste de Présidente, affichant des idées pacifistes et anti-militaristes qui inquiètent Saul et Dar Adal.

Un jour j’irai à New York avec toi

Dans cette saison 6, Homeland prend le risque de nous montrer les méandres de la sécurité intérieures au travers du prisme des manipulations politiques. La future présidente des États-Unis apprend sur le tas et à ses dépends à qui faire confiance. Carrie devient ainsi très vite une victime collatérale de ces luttes de pouvoir. La série prend même un léger tournant 24h et l’on s’attend presque à voir débarquer Jack Bauer à chaque coin de rue.

On est trahi que par ses amis

Si cette sixième saison a du mal à démarrer, elle prend soudainement une toute autre dimension dans sa deuxième partie. Tout s’accélère jusqu’à un final en apothéose qui nous laisse sur notre faim pour les deux dernières saisons de la série.

Grâce à de solides bases posées au fil des saisons, les différents protagonistes basculent progressivement vers dernier voyage qui semble particulièrement inextricable.

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