Auteur : Chris Weitz
Editeur : Msk
Nombre de pages : 384 pages
Histoire : New York, XXIe siècle. Un virus a anéanti la population des États-Unis, à l’exception des adolescents, qui ont vu leur avenir se désintégrer sous leurs yeux. Plus d’électricité, plus d’eau courante, plus de transports, plus d’Internet : les jeunes sont livrés à eux-mêmes dans la ville qui ne dort jamais. Ils se partagent alors le territoire et forment des tribus qui coexistent plus ou moins pacifiquement. Jefferson, le leader des Washington Square, tente d’organiser la survie des siens avec l’aide de Donna, dont il est secrètement amoureux. Privés de repères et lassés d’attendre la mort, ils partent à travers Manhattan pour tenter de retrouver l’origine du virus qui a décimé le continent.
Mon Avis : ★★★☆☆. The Young World est un peu déjà vu au niveau du scénario. Un virus frappe les Etats-Unis, il tue tous les jeunes et les vieux, ne restent que les adolescents ou presque voués à mourir, ce sont les gangs qui gèrent tout et un petit groupe veut sauver le monde. Le livre reste assez bien écrit et on se prend à la lecture. Le héros et son groupe sont assez sympathiques et on espère qu’ils s’en sortent malgré toutes les épreuves qu’ils doivent traverser pendant leur périple. Le monde est vraiment au plus mal sachant que certains gangs en profitent et font vivre l’enfer à certains et en particulier aux filles. On n’a pas vraiment envie de vivre dans le monde dans lequel ils vivent entre le danger des autres mais également les problèmes pour survivre surtout au niveau de la nourriture mais également avec la maladie qui les touche automatiquement passé 18 ans. Je ne peux pas dire avoir adoré ce livre, il me faisait de l’œil depuis quelques mois et l’annonce du deuxième livre m’a décidé à sauter le pas. Je ne l’ai pas dévoré je n’avais pas forcément hâte de savoir la fin mais je ne l’ai pas détesté quand même. Il change des dystopies que l’on a en masse à l’heure actuelle et ça change un peu d’avoir un héros pour une fois car il devient de plus en plus commun d’avoir des filles même si dans son groupe une fille est quand même omniprésente. En fait, chaque chapitre passe d’un personnage principal à l’autre soit de Jefferson à Donna ce qui met un peu de piment à la lecture. L’action n’est pas omniprésente mais il y a de bons rebondissements et le rythme est régulier.